La Diminution des heures de cours de chinois
La programme de la gratuité de l’éducation sur 12 ans annonce que les heures des cours de chinois du lycée va diminuer de trois ou quatre heures par semaine à l’avenir. Originairement, les élèves devaient prendre 24 unités de valeur (UV) obligatoires pendant trois ans au lycée. La nouvelle politique change cela en 20 UV obligatoires et 4 UV facultatives.
Cela provoque le mécontentement de l’association de l’enseignement du chinois. Leur membres pensent que la diminution des heures de cours de chinois va influencer l’apprentisage d’autres sujets, la capacité de communiquer et d’analyser et la capacité esthétique. Les élèves apprennent la culture et la morale chinoise dans ces cours. Ces derniers ne sont pas seulement des cours de langue. Les enseignants s’inquiètent que les élèves n’aient déjà pas assez du temps pour le chinois, alors que le ministère de l’éducation le réduit. Et de plus en plus d’élèves n’ont pas de maitrise élémentaire de la langue, ils utilisent mal les mots et ils ne comprennent pas les expressions familières. S’il y a moins de cours de chinois, ce phénomène empirera. En outre, si les cours ne sont pas suffisants, les élèves riches pourront prendre des cours complémentaires pour s’améliorer. Et c’est défavorable pour ceux qui sont pauvres ou ceux qui n’ont pas assez de ressources au lycée. La femme écrivain, Chang Show-Foong dit que les capacités en chinois prennent la forme en M, c’est à dire que la différence entre les lycéens s’agrandir aujourd’hui.
En revanche, l’Académie Nationale de la Recherche d’Éducation souligne que cette décision est pour que les élèves se développent et pour minimiser la pression des études. Ce plan augmente la flexibilité des horaires et les lycéens peuvent suivre les cours auxquels ils s’intéressent. Ensuite, il n’y a pas de recherche qui indique que la capacité de chinois des élèves taiwanais décline et que démontre la relation entre la capacité de communiquer et plus de cours de chinois. Mais selon beaucoup d’enquêtes, c'est sûr que les différences entre chaque enfant augmentent. Donc, il faut offrir des cours divers aux élèves qui ont des disparités de personnalité afin d’avoir envie d’apprendre. Par ailleurs, un grand nombre de cours n’équivaut pas à une meilleure qualité et un meilleur résultat de l’apprentissage.
À propos de cette réforme, certains craignent que les élèves voient baisser leur qualité en chinois qui améliorent leurs pensées, certains pensent qu’ils devraient apprendre sans tant de pression. À mon avis, cette politique est inappropriée. Étant donné que beaucoup d’élèves taiwanais ne prennent pas l’initiative d’apprendre ou de lire. Par conséquent, la réduction des horaires des cours implique celle de l’apprentissage de la langue, de l’histoire ou de la culture maternelle. Certes on n’aperçoit pas immédiatement le résultat d’appendre de chinois, mais cela ne signifie pas que c’est inutile. Comme l’impact ne se montre pas sur les notes mais sur la pensée, il est nécessaire de continuer à travailler sur ce sujet pendant longtemps. Et les lycéens sont ceux qui commencent à comprendre plus ces connaissances. C’est le meilleur moment d’avoir plus de cours de chinois pour améliorer leur possibilité de lire, d’exprimer et de communiquer.
Cela provoque le mécontentement de l’association de l’enseignement du chinois. Leur membres pensent que la diminution des heures de cours de chinois va influencer l’apprentisage d’autres sujets, la capacité de communiquer et d’analyser et la capacité esthétique. Les élèves apprennent la culture et la morale chinoise dans ces cours. Ces derniers ne sont pas seulement des cours de langue. Les enseignants s’inquiètent que les élèves n’aient déjà pas assez du temps pour le chinois, alors que le ministère de l’éducation le réduit. Et de plus en plus d’élèves n’ont pas de maitrise élémentaire de la langue, ils utilisent mal les mots et ils ne comprennent pas les expressions familières. S’il y a moins de cours de chinois, ce phénomène empirera. En outre, si les cours ne sont pas suffisants, les élèves riches pourront prendre des cours complémentaires pour s’améliorer. Et c’est défavorable pour ceux qui sont pauvres ou ceux qui n’ont pas assez de ressources au lycée. La femme écrivain, Chang Show-Foong dit que les capacités en chinois prennent la forme en M, c’est à dire que la différence entre les lycéens s’agrandir aujourd’hui.
En revanche, l’Académie Nationale de la Recherche d’Éducation souligne que cette décision est pour que les élèves se développent et pour minimiser la pression des études. Ce plan augmente la flexibilité des horaires et les lycéens peuvent suivre les cours auxquels ils s’intéressent. Ensuite, il n’y a pas de recherche qui indique que la capacité de chinois des élèves taiwanais décline et que démontre la relation entre la capacité de communiquer et plus de cours de chinois. Mais selon beaucoup d’enquêtes, c'est sûr que les différences entre chaque enfant augmentent. Donc, il faut offrir des cours divers aux élèves qui ont des disparités de personnalité afin d’avoir envie d’apprendre. Par ailleurs, un grand nombre de cours n’équivaut pas à une meilleure qualité et un meilleur résultat de l’apprentissage.
À propos de cette réforme, certains craignent que les élèves voient baisser leur qualité en chinois qui améliorent leurs pensées, certains pensent qu’ils devraient apprendre sans tant de pression. À mon avis, cette politique est inappropriée. Étant donné que beaucoup d’élèves taiwanais ne prennent pas l’initiative d’apprendre ou de lire. Par conséquent, la réduction des horaires des cours implique celle de l’apprentissage de la langue, de l’histoire ou de la culture maternelle. Certes on n’aperçoit pas immédiatement le résultat d’appendre de chinois, mais cela ne signifie pas que c’est inutile. Comme l’impact ne se montre pas sur les notes mais sur la pensée, il est nécessaire de continuer à travailler sur ce sujet pendant longtemps. Et les lycéens sont ceux qui commencent à comprendre plus ces connaissances. C’est le meilleur moment d’avoir plus de cours de chinois pour améliorer leur possibilité de lire, d’exprimer et de communiquer.
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